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L’action en recherche de paternité permet à un enfant d’établir un lien de filiation avec celui qu’il pense être son père. La procédure s’effectue devant le tribunal. Cela peut avoir des conséquences sur l’exercice de l’autorité parentale, la contribution du père à l’entretien et à l’éducation de l’enfant et le nom de l’enfant.
L’action en recherche de paternité permet à un enfant d’établir un lien de filiation avec celui qu’il pense être son père.
L’action peut être exercée à l’encontre du père prétendu.
S’il est décédé, l’action peut être exercée à l’encontre de ses héritiers.
S’il n’a pas d’héritiers ou s’ils ont renoncé à la succession, elle peut être exercée à l’encontre de l’État.
L’action en recherche de paternité est réservée à la mère si l’enfant est mineur.
La mère peut agir pendant la minorité de l’enfant.
L’action en recherche de paternité doit être exercée devant un juge. Toutefois, certaines situations rendent l’action impossible.
Pour déclencher l’action en recherche de paternité, il faut s’adresser au tribunal du lieu de résidence de la personne à l’égard de laquelle l’enfant cherche à faire établir un lien de filiation.
L’assistance d’un avocat est obligatoire.
La recherche de paternité est impossible dans les cas suivants :
Inceste absolu (entre père et fille, mère et fils, frère et sœur)
Enfant placé en vue de son adoption
La preuve de la paternité peut être apportée par tous les moyens (témoignages, lettres du père présumé à la mère, etc.).
Le juge peut ordonner une expertise génétique (test de paternité) qui nécessite l’accord des personnes concernées.
Le refus de s’y soumettre peut être interprété par le juge comme un aveu de paternité ou, selon le cas, de non paternité.
Si le tribunal accepte la demande, le lien de filiation s’applique depuis la date de naissance de l’enfant (il est rétroactif).
Le tribunal peut aussi décider sur les sujets suivants :
Contribution du père à l’entretien et à l’éducation de l’enfant
Nom de l’enfant
L’action en recherche de paternité permet à un enfant d’établir un lien de filiation avec celui qu’il pense être son père.
L’action peut être exercée à l’encontre du père prétendu.
S’il est décédé, l’action peut être exercée à l’encontre de ses héritiers.
S’il n’a pas d’héritiers ou s’ils ont renoncé à la succession, elle peut être exercée à l’encontre de l’État.
L’action en recherche de paternité est réservée à l’enfant qui cherche à faire établir un lien de filiation avec son père prétendu.
L’enfant peut agir jusqu’à l’âge de 28 ans.
L’action en recherche de paternité doit être exercée devant un juge. Toutefois, certaines situations rendent l’action impossible.
Pour déclencher l’action en recherche de paternité, il faut saisir le tribunal du lieu de résidence de la personne à l’égard de laquelle l’enfant cherche à faire établir un lien de filiation.
L’assistance d’un avocat est obligatoire.
L’action en recherche de paternité est irrecevable (le juge rejette la requête) dans les cas suivants :
Inceste absolu (entre père et fille, mère et fils, frère et sœur)
Enfant placé en vue de son adoption
La preuve de la paternité peut être apportée par tous les moyens (témoignages, lettres du père présumé à la mère, etc.).
Le juge peut ordonner une expertise génétique (test de paternité) qui nécessite l’accord des personnes concernées.
Le refus de s’y soumettre peut être interprété par le juge comme un aveu de paternité ou, selon le cas, de non paternité.
Si le tribunal accepte la demande, le lien de filiation s’applique depuis la date de naissance de l’enfant (il est rétroactif).
Le tribunal peut aussi décider sur les sujets suivants :
Contribution du père à l’entretien et à l’éducation de l’enfant
Nom de l’enfant
L’action en recherche de paternité permet à un enfant d’établir un lien de filiation avec celui qu’il pense être son père.
L’action peut être exercée à l’encontre du père prétendu.
S’il est décédé, l’action peut être exercée à l’encontre de ses héritiers.
S’il n’a pas d’héritiers ou s’ils ont renoncé à la succession, elle peut être exercée à l’encontre de l’État.
Si l’enfant est décédé, l’action en recherche de paternité est réservée à ses héritiers.
Si l’enfant est lui-même parent et décède avant ses 28 ans, ses héritiers peuvent agir à sa place avant l’expiration du délai dont il disposait initialement.
Si le défunt avait engagé une action de son vivant, ses héritiers peuvent la poursuivre.
L’action en recherche de paternité doit être exercée devant un juge. Toutefois, certaines situations rendent l’action impossible.
Pour déclencher l’action en recherche de paternité, il faut saisir le tribunal du lieu de résidence de la personne à l’égard de laquelle l’enfant cherche à faire établir un lien de filiation.
L’assistance d’un avocat est obligatoire.
L’action en recherche de paternité est irrecevable (le juge rejette la requête) dans les cas suivants :
Inceste absolu (entre père et fille, mère et fils, frère et sœur)
Enfant placé en vue de son adoption
La preuve de la paternité peut être apportée par tous les moyens (témoignages, lettres du père présumé à la mère, etc.).
Le juge peut ordonner une expertise génétique (test de paternité) qui nécessite l’accord des personnes concernées.
Le refus de s’y soumettre peut être interprété par le juge comme un aveu de paternité ou, selon le cas, de non paternité.
Si le tribunal accepte la demande, le lien de filiation s’applique depuis la date de naissance de l’enfant (il est rétroactif).
Le tribunal peut aussi décider sur les sujets suivants :
Contribution du père à l’entretien et à l’éducation de l’enfant
Nom de l’enfant